- EAN13
- 9782081506893
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 13/11/2019
- Collection
- Littérature et civilisation
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Écrits sur l’art
L'Art moderne, Certains et Trois Primitifs
Joris-Karl Huysmans
Flammarion
Littérature et civilisation
Autre version disponible
-
Papier - Flammarion 12,00
Huysmans a publié trois ouvrages de critique d’art : L’Art moderne (1883),
Certains (1889) et Trois Primitifs (1905), composés à partir d’articles parus
dans la presse. Après s’être essayé, dans L’Art moderne, au compte rendu de la
visite des salons officiels et des expositions impressionnistes, il propose,
dans Certains, l’inventaire de ses goûts personnels, en s’attachant à l’étude
de peintres – Pierre Puvis de Chavannes, Gustave Moreau, Odilon Redon,
Félicien Rops… – et de thèmes particuliers : « Le fer », « Le monstre », etc.
Dans Trois Primitifs, enfin, il s’attarde sur des artistes jusque-là négligés
: constitué d’une monographie de Grünewald et du récit de la visite de
l’Institut Staedel de Francfort, ce texte apparaît comme un retour sur
l’origine même de son intérêt pour les arts plastiques. Souvent ironiques et
pleins de verve, ces écrits présentent un double intérêt : outre qu’on y
découvre les peintres de prédilection de Huysmans – de Degas à Caillebotte, en
passant par Renoir, Monet et Hokusai –, ils éclairent aussi, par ricochet, ses
romans et la fonction singulière qu’y assument les œuvres d’art.
Certains (1889) et Trois Primitifs (1905), composés à partir d’articles parus
dans la presse. Après s’être essayé, dans L’Art moderne, au compte rendu de la
visite des salons officiels et des expositions impressionnistes, il propose,
dans Certains, l’inventaire de ses goûts personnels, en s’attachant à l’étude
de peintres – Pierre Puvis de Chavannes, Gustave Moreau, Odilon Redon,
Félicien Rops… – et de thèmes particuliers : « Le fer », « Le monstre », etc.
Dans Trois Primitifs, enfin, il s’attarde sur des artistes jusque-là négligés
: constitué d’une monographie de Grünewald et du récit de la visite de
l’Institut Staedel de Francfort, ce texte apparaît comme un retour sur
l’origine même de son intérêt pour les arts plastiques. Souvent ironiques et
pleins de verve, ces écrits présentent un double intérêt : outre qu’on y
découvre les peintres de prédilection de Huysmans – de Degas à Caillebotte, en
passant par Renoir, Monet et Hokusai –, ils éclairent aussi, par ricochet, ses
romans et la fonction singulière qu’y assument les œuvres d’art.
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