Le Ballet des retardataires, Tokyo, tambours et tremblements
EAN13
9782369561804
Éditeur
Intervalles
Date de publication
Langue
français
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Le Ballet des retardataires

Tokyo, tambours et tremblements

Intervalles

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Le Ballet des retardataires est le témoignage unique d’une des rares
Européennes à avoir pénétré le monde ultra fermé et traditionnel du taïko au
Japon, et la première à avoir séjourné dans l’école la plus secrète de Tokyo.

Jeune Française n’ayant jamais voyagé, elle arrive pleine de naïveté dans un
monde aux règles incompréhensibles, à la discipline quasi militaire et où
personne ne parle anglais. Aux entraînements succèdent incompréhension
chronique, fatigue extrême, typhons, tremblements de terre et fantômes.

Dans ce roman initiatique, l’héroïne nous fait découvrir une facette méconnue
du Japon travers cet art du tambour japonais traditionnel. Elle emmène aussi
le lecteur vers cette frontière flottante où la réalité et le rêve se
chevauchent.

Le récit progresse au rythme des journées sans fin de l’apprentie, teinté
d’une étrange poésie et d’un humour truculent. Le livre devient alors une
sorte de partition, hommage au taïko si méconnu en Europe. Le Ballet des
retardataires ne se lit pas, il se déguste comme un bonbon succulent, coloré
et piquant.

CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE


« Loin des ébahissements convenus sur le raffinement nippon, Le Ballet des
retardataires cache sous son titre poétique une charge assez irrésistible
contre la minutie et le culte de l’obéissance… Un joli roman d’apprentissage.
» Yaël Hirsch, Toute La Culture


« Un premier roman percutant, dépaysant, élégant, aussi court que puissant,
qui s’imprime en soi par ricochets. » Nathalie Gendreau, PrestaPlume

« Avec acuité, humour et dérision, Maïa Aboueleze embarque son lecteur dans un
quotidien étrange, lui révélant, touche par touche, un pays étonnant. » Notes
bibliographiques


À PROPOS DE L'AUTEUR

Née à Alençon en 1981, Maïa Aboueleze passe une enfance pluvieuse à lire près
du radiateur. La danse, qu’elle découvre à l’adolescence, la sort de sa
torpeur. Une fois le bac en poche elle quitte la Basse-Normandie pour la Haute
et passe un an à la Faculté et au conservatoire de danse de Caen. Elle
poursuit des études de danse au conservatoire et d’histoire à l’UCO d’Angers.
La Loire qui coule au loin et les effluves de Coteaux-du-Layon bercent ses
ambitions : elle sera artiste.

Son éducation se poursuit à Paris où elle commence le théâtre puis le taïko.
En 2008 elle s’installe à Bruxelles. En tant que comédienne, elle travaille
alors pour différentes compagnies et développe des ateliers auprès de publics
de primo-arrivants, F.L.E. et Alpha. En tant que percussionniste, elle joue au
sein de différents groupes.

En 2011 elle obtient la bourse Vocatio et part perfectionner son jeu de taïko
à Tokyo.

Depuis son retour, Maïa Aboueleze est amarrée à Bruxelles d’où elle prépare
ses prochaines aventures entre musique, comédie et voyage.
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