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Si vous avez toujours rêvé de devenir,une héroïne, alors venez vous faire photographier dans notre vitrine avec l'un des livres que nous avons choisis et devenez l'héroïne de (n)votre librairie !

Exploratrice et féministe

Tallandier

Alexandra David-Neel est la plus célèbre des explo­ratrices. Déguisée en mendiante, elle est la première femme européenne à pénétrer en 1924 dans Lhassa, la capitale du Tibet, alors interdite aux étrangers.
On croit connaître le destin de cette infatigable voyageuse, mais sait-on qu'Alexandra David-Neel (1868-1969) a été une féministe de la première heure, journaliste, cantatrice, authentique anarchiste ne voulant dépendre de personne ?
Pour percer le mystère de la vie de cette femme incroyable, il y a un repère, un fil conducteur auquel Laure Dominique Agniel redonne toute sa place : son mari, Philippe. L'ami, le confident, le seul avec qui elle laisse tomber le masque.Les milliers de lettres à son époux nous éclairent sur sa quête acharnée de liberté pendant les 101 années de son existence. Les différents noms qu'elle a portés traduisent ce cheminement vers l'invention de soi : née Alexandra David, elle associe le nom de son mari au sien pour signer son oeuvre Alexandra David-Neel.
Dans un style limpide et enlevé, Laure Dominique Agniel nous restitue la vie menée tambour battant d'une femme en avance sur son temps.


10,95

« Ce road trip d’un garçonnet pas comme les autres et d’une femme ignorant tout des enfants, dans ce drôle de pays où le jour se lève pour vite se coucher, prouve que cette Islandaise n’est pas la femme d’un seul roman. Avec d’autres armes, L’Embellie charme autant que Rosa candida. » (Elle)
« Dans ce roman de la maternité par hasard, tout s’ajuste exactement. L’équilibre, le jeu des échos, est toujours parfait. Pour mieux troubler son lecteur. » (Le Monde des Livres)


6,50

Une vieille femme assise sur une chaise dans un parc. Elle attend. Le parc est celui de l’asile de Montdevergues, et l’homme qu’elle attend est son frère. Il s’appelle Paul Claudel. Elle, donc, serait Camille.

Trente années dans le parc, près d’Avignon. Présent, passé, tout se mêlerait dans la grande lumière de là-bas, et se rejoindrait. De l’amour et de la beauté. De la haine. De l’abandon. Et de ce que c’est que la fin des choses quand, de si près, depuis si longtemps, elle chemine près de vous, silencieuse et poignante.

Avec ce récit fervent et grave, la langue de Michèle Desbordes atteint son point d’excellence pour nous dire la tragédie calme de l’être aux limites de soi.


1903. Disant adieu à son adolescence écossaise, Mary Mackenzie embarque pour l'Orient extrême. À Pékin, dans le quartier des ambassades, l'attend son futur mari, un homme dont elle ne sait rien, représentant la Couronne britannique auprès du dernier empereur. Très vite, la jeune Mary étouffe sous le carcan des convenances diplomatiques et conjugales alors que, dehors, l'aventure l'appelle. Des rues grouillantes aux senteurs enivrantes des marchés, de l'art floral au rituel du thé, de la Cité interdite à l'insurrection des Boxers, sa quête éblouie va la mener à l'amour. Éprise d'un officier nippon, rejetée par son mari, méprisée par ses compatriotes, Mary doit fuir au Japon où l'attendent de nouveaux combats.
Nouvelle édition en 2015
Né à Tokyo en 1913, mort à Édimbourg en 1998, Oswald Wynd, devenu l’un des maîtres du polar contemporain sous divers pseudonymes, ne signa de son nom que cet unique roman historique, aux fortes résonances autobiographiques. Nouvelle édition.


19,00

«Maman était une force de la nature et elle avait une patience très limitée pour les jérémiades de gamines douillettes. Nos plaies, elle les désinfectait à l’alcool à 90 °, le Mercurochrome apparemment était pour les enfants gâtés. Et puis il y avait l’éther, dans ce flacon d’un bleu céruléen comme la sphère vespérale. Cette couleur était la sienne, cette profondeur du bleu sombre où se perd le coup de poing lancé contre Dieu.» Ce premier roman raconte l’amour inconditionnel liant une mère à ses filles, malgré ses fêlures et sa défaillance. Mais l’écriture poétique et sulfureuse de Violaine Huisman porte aussi la voix déchirante d’une femme, une femme avant tout, qui n’a jamais cessé d’affirmer son droit à une vie rêvée, à la liberté.
Violaine Huisman est née en 1979 à Paris et vit depuis vingt ans à New York où elle a organisé de nombreux festivals et événements littéraires. Elle a aussi traduit plusieurs textes de l’américain dont La haine de la poésie de Ben Lerner.